![]() |
![]() |
![]() |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Dans cette rubrique vous trouverez les différentes façons de sexer les cétoines ( imagos et larves )
Il peut être important de savoir sexer exactement et le plus fidèlement possibles les larves de cétoines. En effet, lorsque vous vous procurez des souches au stade larvaire il est important de savoir ( pour la poursuite de votre élevage ) combien de mâles et de femelles avez vous acquis. J'en ai subit les conséquence lorsque j'ai acquis ma première souche de Eudicella smithi bertherandi, sur les 20 larves, 19 étaient des mâles et une seule était une femelle. Il est dotant plus facile de sexer les larves L3 qu'elles sont grosses. Il vous suffit de regarde sur la face ventrale du dernier segment abdominal. Chez les mâles, il est possible de voir une pointe noire un peu plus grosse que les poils. Il s'agit de l'organe de Herold, une pointe chitineuse, visible par transparence sur les larves L3. Les femelles en sont dépourvues. Regardez sur les photos comparatives et vous verrez que ce n'est pas si sorcier.
Pour les espèces de ce genre, le dimorphisme sexuel est très marqué, en effet, le mâle possède une corne céphalique en forme de T. La femelle en est dépourvue. De plus, le mâle posséde un silhon sur la face ventrale de l'abdomen, aux niveau des sternite II, III et IV. Pour ces espèce, il est très facile de reconnaître le male des femelles. Il possèdent une excroissance au niveau de la tête en forme de Y. J'ai choisi deux espèces différentes volontairement ( ici : Eudicella gralli hubini et Eudicella smithi bertherandi ) afin de bien montrer que ceci est valable pour toutes les espèces de cette famille.
En ce qui concerne les Gymnetis, il est plus difficile de savoir d'un premier coup d'oeuil de quel sexe il s'agit. En effet, il faut regarder la face ventrale de l'adulte. Celle de la femelle est plus "poilue" que celle du mâle comme indiqué si dessous. Pour un sexage le plus precis possible, il est préférable d'avoir plusieurs spécimens et de les comparer entre eux. Pour ces espèces le dimorphisme sexuel est assez apparent, en effet, les mâles possédent une corne céphalique assez prononcée, elle peut être simple ou bifides. Le mâle posséde aussi un silhon ventrale assez marqué du fait de leur taille. Et enfin, les reliefs des pattes ne sont pas les mêmes chez les mâles et les femelles.
Pour ces espèces le dimorphisme sexuel n'est pas visible immédiatement, en effet, les males n'ont ni cornes ni signes distinctifs apparents. Il faut retourner les spécimens, sur la face ventrale du male, vous trouverez un sillon entre le premier et le dernier segment abdominal. Les femelles en sont dépourvues.
Dans cette famille, les dimorphisme sexuel est très marqué, le male possède de petites cornes au niveau de la tête. |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |